Salut Galarneau !

C’est fou comme le soleil à un effet bénéfique sur les gens. Avez-vous remarqué le nombre incroyable de personnes qui ont joué dehors en fin de semaine afin de s’adonner à de multiples sports et loisirs? De toute évidence, le sourire accroché aux lèvres, les gens faisaient le plein de toutes sortes d’activités bonnes pour la santé physique et mentale. Je suis moi-même assis bien entouré de la chaleur de dame Nature en vous écrivant ces lignes.

Selon les recherches en psychologie comportementale, une heure de travail manuel amène une dépense énergétique d’une heure, donc l’équivalent. C’est pour cette raison que lorsque vous faites un sport ou une activité physique, particulièrement à l’extérieur à la fin de la journée, vous ressentez une bonne et belle fatigue. Afin de récupérer cette énergie perdue, il vous suffit de vous détendre.

Toujours selon ces recherches, une heure de travail de concentration (travailler sur des dossiers, lire et jouer de la musique, suivre une recette, écouter la télévision, jouer au jeu vidéo, etc.) vous fait dépenser trois heures d’énergie. C’est pour cette raison, entre autres, qu’après un avant-midi à se concentrer au travail, la fatigue se pointe fréquemment. Vos quatre heures de concentration se multiplient par trois ce qui vous donne 12 heures de perte d’énergie. Lorsque les ordinateurs ont fait leur apparition, le taux d’épuisement professionnel a plus que triplé. Grâce ou plutôt à cause de l’ordinateur, les gens ont commencé à gérer plusieurs informations de façon rapide et simultanée. Donc, ils ont dû apprendre à se concentrer davantage et du coup augmenter le niveau de travail de concentration entraînant donc un niveau de fatigue plus élevé.

La dernière sorte de travail et non le moindre est le travail avec les émotions. Pour chaque heure de travail émotionnel (doute, colère, agressivité, culpabilité, rejet, insécurité, peurs, rancune, tristesse, etc.), vous brûlez l’équivalent de six heures d’énergie. Bien des malaises physiques, psychosomatiques et psychologiques proviennent de ce type de travail. Inutile de vous dire que l’excès de travail émotionnel peut vous être fatal. À lui seul, il peut détruire les individus, les couples, les familles et les organisations.

La méthode de récupération pour le travail de concentration et le travail émotionnel est le même. Selon plusieurs études, la simple marche rapide serait un des remèdes idéaux. Il y a cinq ans, les rapports de recherche recommandaient 20 minutes de marche rapide par jour. Aujourd’hui, vu les exigences émotionnelles croissantes dans nos vies personnelles et professionnelles, ces mêmes rapports suggèrent 60 minutes de marche rapide par jour pour contrer, le plus possible, les pertes d’énergie occasionnées par le travail émotionnel.

« Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras »

Donc profitez du printemps hâtif pour vous refaire une santé intérieure et surtout évitez le travail émotionnel inutile.

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Avez-vous le gène du bonheur ou la gêne du bonheur?

Scientifiquement, nous sommes en accord avec le fait qu’un gène du bonheur est une métaphore. Toutefois, la gêne du bonheur a nourri et continuera de nourrir bien des discussions. Malheureusement, il semble que la gêne du bonheur soit « in ». Il est fréquent, par exemple, que les adolescents qui sont heureux et qui le dégagent soient la cible de persécuteurs notoires. Chez l’adulte, nous retrouvons aussi ce mépris des gens heureux, comme si ceux-ci tombaient carrément sur les nerfs de ceux qui souffrent et qui n’arrivent pas à trouver du bonheur. Comme peuple, nous adorons niveler par le bas…

Heureusement, nous rencontrons, à l’occasion, de ces personnes qui le dégagent comme la rose dégage son parfum. Personnellement et professionnellement, ces gens cultivent cet ingrédient de réussite fort précieux qui leur donne une force d’être et de faire insondable.

Samedi dernier, à l’occasion d’une fête, il m’a été donné d’être assis devant deux magnifiques personnes et de faire, au gré de la soirée, leur connaissance. Au premier abord, ils étaient distingués et portaient une attention sincère à leur entourage. Déjà, ma curiosité était piquée. J’avais devant moi des gens qui ont de toute évidence transformé les difficultés de leurs vies pour enrichir leur complicité, leur amour. Vous savez, ce genre de complicité qui vous donne ce sentiment d’être choyé de simplement le côtoyer.

Au fil de la soirée, le plaisir d’échanger était palpable et salvateur. Les interactions, ponctuées d’humanité, de respect, d’ouverture, de curiosité enrichissaient ceux et celles qui étaient disponibles à cet état d’être. À un certain moment donné, je me suis permis de faire part au couple de mes observations sur la façon exceptionnelle qu’ils avaient de nourrir cette complicité qui leur donnait une couleur si vivifiante, tonifiante, fortifiante. Avec un grand sourire rayonnant, l’homme répondit en regardant sa femme droit dans les yeux « Ça fait trente ans et nous sommes, malgré toutes nos épreuves, toujours heureux ensemble; nous avons le gène du bonheur ». Au-delà de leurs mots (7 % d’impact), leurs comportements (55% d’impact) confirmaient le tout depuis le début de la soirée. Un tel niveau d’intégrité est particulièrement rare et s’avère très stimulant pour qui le veut bien.

Personnellement et professionnellement, les gens qui ont réussi à bâtir un bonheur, à travers les aléas de la vie, disposent d’un rayonnement exceptionnel qui les distingue significativement des autres.
Je vous souhaite de partager des instants de vie avec ces humbles modèles qui enrichissent nos pas vers une réussite personnelle et professionnelle.

Merci à vous deux!

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L’avenir appartient à ceux et celles qui croient à la beauté de leurs rêves.

Avez-vous encore des rêves que vous aimeriez voir se réaliser? Je vous pose la question, parce qu’à force de déception plusieurs personnes ont arrêté de rêver. Même les enfants ont de plus en plus de difficulté à entretenir un rêve.

Un jour, pas si lointain, il me fut permis d’entendre une discussion entre un père et son fils. Le fiston manifestait à son père qu’il avait le rêve d’arriver à faire un gros saut en planche à neige. Dans ses yeux, on pouvait lire le bonheur de vivre ce moment un jour. L’intensité de l’enfant était pure et belle, ingrédients nécessaires à la réussite éventuelle du saut. Le père laissa l’enfant s’exprimer et ajouta tout de même: « Les rêves c’est pour les faibles, la réalité c’est pour les forts. Tu ne pourras jamais réussir un tel saut, tu as encore de la difficulté à avancer ». Il semble évident que l’enfant a écouté son père, il est d’ailleurs tombé à plusieurs reprises en descendant la pente, ce qui était inhabituel pour celui-ci. J’ai recroisé l’enfant au bas de la pente, il avait perdu cette lueur dans ses deux yeux et on pouvait même apercevoir une ride entre ceux-ci. Je ne saurai jamais l’impact réel de ce moment sur la vie de l’enfant, j’espère seulement qu’il retrouvera, s’il le faut sans son père, le gout de croire à nouveau en ses rêves.

Nous avons tellement mis, comme société, l’importance sur la performance que les rêves ont de moins en moins la cote. Pourtant, nombre de personnalités, aujourd’hui reconnues, ont commencé leur vie personnelle et professionnelle avec un rêve qui s’est finalement réalisé. Il serait bien nourrissant d’entendre parler davantage de ces gens qui portent souvent l’étoffe de la simplicité et un grand respect de l’être humain.

Le rêve génère en lui-même une force de réalisation qui défie la science moderne. Jamais basé sur des attentes, il grandit plutôt dans l’espoir. Sa réalisation transforme des vies et élargit le champ de vision de ceux et celles qui l’habitent. Il crée des gens capables de communiquer intensément la fierté d’ÊTRE et de se réaliser, valeurs qui semblent malheureusement se perdre.

Osez garder une partie de votre précieux temps pour rêver et transmettez ce bien inestimable à ceux et celles qui vous entourent, notre monde ne s’en portera que mieux.

Luc

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Le courage de s’amuser

Je suis assis chez moi et je regarde par la fenêtre du salon les enfants glisser dans une immense glissade que mon voisin a intelligemment et patiemment conçue. À -20 degrés, les enfants montent et descendent inlassablement. Leurs yeux brillent, leurs cris retentissent, et la fierté de vaincre la peur de glisser à 30 km/h se lit sur les visages.

Au début, lors de la première descente, les enfants sont tous à des niveaux de témérité différents. Ce qui est certain, c’est que chacun a une crainte qu’il devra surmonter. Après une bonne heure de descente, les enfants sont pratiquement au même niveau et le défi de la montagne devient jeu, la peur les quitte et chacun explore et développe son potentiel à la vitesse de l’éclair.

Les enfants sont de bons professeurs, prenez le temps de les observer, ils vous enseigneront bien plus que vous le croyez. Ici, les enfants nous rappellent l’importance de jouer, de s’amuser. Vos défis d’adulte, quels qu’ils soient, font partie de la vie. Certains sont plus difficiles que d’autres, certains sont plus stimulants que d’autres. Ce que les enfants nous rappellent, c’est qu’en jouant, tout est possible.

Réapprenez à jouer chers adultes, c’est urgent. Les enfants peuvent apprendre à parler 5 langues simplement en s’amusant avec d’autres enfants. Quel risque prenez-vous à vous amuser personnellement et professionnellement davantage sauf celui d’explorer et développer plus facilement votre potentiel? Voilà pourquoi nous entendons souvent que les personnes passionnées réussissent mieux; ils s’amusent, sérieusement.

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Poule ou aigle ?

Ces temps ci, je suis intrigué par le nombre de personnes (enfants, adolescents, adultes) qui, pour toutes sortes de raisons, tentent d’éviter de rayonner leurs richesses et leur beauté. C’est comme si le nivellement par le bas avait la cote. Comme si l’être humain était finalement plus confortable avec son ombre qu’avec sa lumière.

En observant les gens, il serait facile d’émettre l’hypothèse que certains conflits demeurent présents dans leur vie à la seule fin des éloigner de leurs forces, leurs qualités, leurs énergies, leur beauté, leurs buts et de leurs rêves.

Voici donc un conte qui, je l’espère, vous inspirera à rayonner le meilleur de vous-même.

« Un jeune Indien se promenait seul dans la forêt. Il trouva un œuf d’aigle. Croyant qu’il s’agissait d’un œuf de poule de prairie, il le déposa dans un nid de poule de prairie.

L’oisillon vint au monde entouré de poules. Il se mit à marcher comme une poule, caqueter comme une poule, picorer comme une poule.

Un beau jour de printemps, le jeune oiseau vit une chose magnifique, c’était un immense oiseau qui s’élevait en planant dans les airs, avec une grande élégance. « Qu’est-ce-que cet oiseau ? », demanda le petit aigle élevé parmi les poules de prairie. « C’est un aigle, l’oiseau le plus beau de tous les oiseaux ! » Le petit aigle songea au privilège que ce devait être de pouvoir ainsi voler avec tant de grâce. Mais comme il savait qu’il ne pourrait jamais être un aigle, le jeune oiseau oublia rapidement son rêve.

Il vécut toute sa vie et mourut croyant qu’il était une poule de prairie. »

CONTE DU FOLKLORE
DES INDIENS D’AMÉRIQUE

Lorsqu’une personne suscite votre admiration par sa réussite personnelle et/ou professionnelle, rappelez-vous que si vous êtes touché par sa beauté, c’est que vous la portez en vous-même. Permettez-vous de la laisser croître.

Je vous souhaite un des plus beaux cadeaux de Noël, éveillez l’aigle en vous et osez lui donner la liberté d’ÊTRE.

 

*Source : L’estime de soi, Poletti R. & Dobbs B., Éditions Jouvence, Suisse, 1998, p. 9

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L’intimidation; rien dire, rien faire font de nous des complices

Je me souviens de ce jeune enfant de cinq ans qui, en plus de commencer la maternelle, fut confronté à l’intimidation d’un autre élève. Bien plus grand et plus fort, celui-ci le menaçait dans l’autobus le matin en lui disant que le soir venu, il en mangerait toute une. Imaginons quelques secondes cet enfant de cinq ans qui commence sa vie scolaire en vivant du terrorisme relationnel et la peur de la violence physique. Bien que l’école fut un endroit sécuritaire, les allers et retours dans l’autobus étaient tellement anxiogènes qu’ils occupaient toute la place dans le cœur et la tête de l’enfant. Ce suspense maléfique dura plusieurs mois jusqu’à ce qu’un ami de classe encore plus baraqué que l’agresseur, transmis, grâce à une raclée bien soulignée, le message de laisser l’enfant tranquille.

Malgré tout, en plus de manquer de disponibilité intellectuelle en classe, le corps de l’enfant commença à somatiser, à montrer des signes de détresses. Pour le reste de sa vie l’enfant dû composer avec la peur, le doute, le manque d’estime de soi. Même avec des personnes bien attentionnées, l’enfant est demeuré méfiant.

De par son intensité, l’intimidation peut laisser des traces lourdes de conséquences sur le développement d’un enfant, d’un adolescent et bien sûr, d’un adulte.

Lorsque vous voulez évaluer votre vie, vous pouvez le faire en fonction de trois axes, soit, Corporel, Intellectuel et Affectif. L’intimidation peut marquer une personne au fer rouge et les conséquences peuvent être nombreuses, voire même fatales. L’intimidation peut détruire l’être humain à petit feu. Chaque brûlure est cumulative et finit, dans certains cas, par avoir raison de la santé corporelle, intellectuelle et affective.

Nous associons souvent le mot intimidation au monde scolaire mais, comme vous le savez, il en existe aussi dans les couples, les familles et au travail. Dommage que l’intimidation pour certaines personnes soit une attitude valorisée et valorisante.

Pourquoi certaines personnes ont-t-elles recourt à ce mode relationnel si destructeur?

D’où vient leur besoin d’avoir des otages?

Qui ou quoi leur ont enseigné ces techniques pernicieuses d’humiliation de manipulation et de dominance?

Quelle est l’impacte, entre autre chez les enfants et les adolescents, du milieu familial, de la fratrie et que dire de l’exposition prolongée aux jeux vidéos violent en bas âge?

Pourquoi ces agresseurs choisissent-ils souvent des gens sympathiques, intelligents, qui réussissent et qui rayonnent?

Pourquoi ces gestes de violence gratuite sont-ils souvent valorisés par une partie de l’entourage?

L’intimidation peut être considérée comme une arme de destruction massive. Certaines personnes qui y sont confrontées s’en sortent bien tandis que d’autres en souffrent même mortellement. L’enfant, l’adolescent et l’adulte confronté dans sa vie personnelle et/ou professionnelle a souvent beaucoup de difficulté à dénoncer la situation. L’isolement, la peur, la honte, le doute, l’insécurité, le rejet, etc. ont souvent raison de la personne.

IL FAUT DÉNONCER L’INTIMIDATION. ÊTRE EXPOSÉ À L’INTIMIDATION EST EXTRÊMEMENT DANGEREUX POUR LA SANTÉ PHYSIQUE, INTELLECTUELLE ET AFFECTIVE. CE N’EST PAS SEULEMENT LE NOMBRE DE FOIS QUE LA PERSONNE EST EXPOSÉE QUI EST DANGEREUX MAIS BIEN SON INTENSITÉ. DANS CERTAINS CAS, UNE SEULE FOIS SUFFIT POUR CRÉER UN TRAUMATISME.

Attention à ceux et celles qui seraient portés à banaliser la dénonciation de l’intimidation à l’école, à la maison ou au travail. À vos yeux, la situation peut vous paraître banale mais aux yeux de la personne qui le vit, ça peut être fatale.

J’aimerais que vous preniez le temps de vous regarder et de vous questionner s’il vous arrive de vivre ou de faire vivre de l’intimidation dans vos milieux de vie personnels et professionnels. Nous devons nous protéger et protéger ceux et celles qui en sont victimes.

Certaines personnes (enfants, adolescents, adultes) en souffrent en silence, d’autres en souffrent dans le tumulte. Certains en meurent à petit feu tandis que d’autres s’enlèvent littéralement la vie.

Nous pouvons émettre l’hypothèse que ceux et celles qui se suicident veulent davantage arrêter de souffrir que de mourir.

Luc Doyon

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Soyez maître de vos états

Conférence publique 

C’est avec grand plaisir que le 29 et 30 novembre prochain je donnerai une conférence ouverte au grand public. Et je vous invite à venir y participer.

Nos émotions
influencent jusqu’à

l’atteinte de nos objectifs
personnels ou professionnels

maîtrisez-vous
les vôtres ?

L’état dans lequel vous êtes, positif ou négatif, est très contagieux et influence constamment vos comportements, vos perceptions et l’état des gens qui vous entourent, et ce, même si vous tentez de camoufler vos réelles émotions.

L’état négatif, surtout prolongé, est dangereux pour la santé physique et émotionnelle. Des chaînes d’émotions négatives ainsi se déclenchent et peuvent même devenir incontrôlables (exemple: le stress > la peur > le doute > anxiété > scénarisation négative > échec).  De plus sa contagion sur les gens qui vous entourent est instantanée et difficilement contrôlable. Une personne négative peut contaminer jusqu’à 4 personnes positives (famille, couple, enfants, clientèle, collègues de travail, employés, etc.).

Être dans un état positif, vous permet de dépasser vos propres limites, gagner de la confiance en soi, faire du bien aux gens de votre entourage, influencer la perception que les autres ont de vous, etc. Les benefices d’un tel état sont énormes et s’appliquent dans toutes les sphères de la vie personnelle et professionnelle. Donc les avantages de savoir comment rapidement passer d’un état négatif à un état positif sont d’une grande richesse.

Venez apprendre les techniques nécessaires et osez rayonner le meilleur de vous-même.

Objectifs de la conférence

  • Comprenez le rôle primordial des 5 sens sur votre état
  • Apprenez, grâce à des techniques simples, comment entraîner votre cerveau à générer rapidement et efficacement des états positifs
  • Reconnaissez les impacts de votre état sur ceux et celles qui vous entourent
  • Protégez-vous des gens négatifs
  • Évitez les pièges de la contamination émotionnelle négative
  • Apprenez à développer des états d’excellence

Au plaisir de vous y accueillir

Quand ?

Mardi le 29 novembre 2011
OU mercredi le 30 novembre

De 19h à 21h
Hôtel Le Dauphin
600, Boul. St-Joseph
Drummondville (QC)

Coût: 25.00$ par personne

Pour vous inscrire à la conférence « Soyez maître de vos états »,
veuillez contacter Line Richer
au 819-475-0067 ou
au 1-800-387-0067

Il reste encore quelques places de disponibles.
Réservez la vôtre maintenant !

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L’homme qui voulait être heureux

Voici une suggestion de Franck qui pique ma curiosité. Je vais certainement lire ce livre.
L’homme qui voulait être heureux L’homme qui voulait être heureux, ce livre m’a chamboulé, simple et profond, c’est l’histoire d’un homme qui rencontre un vieux sage balinais et qui repense sa vie grâce à cette rencontre, ce vieil homme va le faire renaitre en 4 jours, en lui démontrant que nous sommes dépendant de nos croyances, et en donnant des exemples précis qui ne peuvent que nous convaincre, ce livre nous amène a réfléchir très profondément sur notre propre vie, lucidité, simplicité, pas de cliché, et pas de moralisme, juste des constats neutres qui nous aident vraiment à avancer, et à voyager à l’intérieur de nous-même.
« L’homme qui voulait être heureux »Laurent GounelleÉditions: ANNE CARRIÈRE
Merci Franck pour cette suggestion !Luc

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3 suggestions de livres…

J’ai reçu, d’un de mes lecteurs, 3 suggestions de livres dont je vous fais part:
Jean Barois de Martin du Gard Jean Barois de Martin du Gard m’a troublé : changer de conviction puis y revenir à l’approche de la mort…
Vingt ans après d’Alexandre Dumas Le personnage d’Athos dans Vingt ans après de Dumas (la suite des 3 mousquetaires) : quelle belle âme !
Homme qui regardait passer les trains de Georges Simenon L’homme qui regardait passer les trains de Georges Simenon : nous sommes fragiles, tout peut basculer….choisir c’est éliminer…je veux tout garder pour tout partager.Frédéric DEFOORT
Merci Frédéric pour ces suggestions !

Luc

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Votre vie vous parle…à 20 km/heure !

« Si j’avais pu, si j’avais su, j’avais dû…je le savais dans le fond »
Combien de fois par jour j’entends ces mots qui finissent souvent par faire des maux. Prenez, là tout de suite, un petit temps d’arrêt. Inspirez et expirez profondément 5 fois. Gonflez plutôt le ventre que le thorax et expirez en rentrant le plus possible votre ventre, comme si vous vouliez toucher votre colonne vertébrale avec votre nombril. Mmm, avouez que c’est un moyen simple de vous faire du bien.

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